LTODLCF, volume 3.04
Quand on pense chanson française (comme dans LTODLCF), on pense forcément Star Academy ou Nouvelle Star (pas forcément tout de suite, parce qu'on préfère peut-être citer les grands noms comme Piaf, Fréhel, Feldman... mais ça finira forcément par venir, j'en suis certain). Et quand on pense sexe en même temps (comme le thème général de cette troisième saison), on ne peut pas éviter André Manoukian. Ce serait oublier que Lionel Florence a été jeune.
Très jeune, même. Il est question d'un temps où il possédait un sublime chapeau avec une perruque moche intégrée (non, ça ne peut pas être ses vrais cheveux!) et où il découvrait les joies de l'amour acrobatique avec sa baby-sitter dans Avec ma baby-sitter. Comme Lionel était même très très jeune, il pensait encore qu'il pouvait écrire des chansons en y glissant des jeux de mots sur la terre glaise, il croyait sincèrement que les orchestrations eighties étaient intemporelles et, enfin, il s'imaginait avoir une voix suffisante pour enregistrer un disque. Il n'était sans doute pas le seul, puisqu'il a finalement sorti son disque, mais ils ne devaient pas être plus de deux à le penser... Alors, Lionel Florence a retrouvé le chemin de la raison et trouvé un meilleur moyen de révolutionner à tout jamais la musique en rencontrant son alter ego strictement professionnel, Pascal Obispo, en lui écrivant des récits poignants parfois mélodramatiques et en pourrissant la vie de toutes les Lucie forcées, depuis, de subir des plaisanteries du genre «Lucie, dépêche-toi» ou «Lucie, t'arrête pas».
Le CV idéal pour un être un juré forcément inattaquable dans À la recherche de la Nouvelle Star.
Lalalalalalala... Lalalalalalala
Avec ma baby-sitter
En fait, c'est elle qui tâte et tête ma tétine
Avec ma baby-sitter
Ça colle extra, c'est comme la terre...
Elle est anglaise
Lalalalalalala... Lalalala
Avec ma baby-sitter
On n'se cache pas
Juste quelquefois, tout nus dans le placard (oooh ohohohohoh)
Quand j'lui fais l'plan d'Dracula (oooh ohohohohoh)
Puis j'la console dans mes bras
Sûr, c'est un nec plus ultra
Lionel Florence
1986 CBS
Très jeune, même. Il est question d'un temps où il possédait un sublime chapeau avec une perruque moche intégrée (non, ça ne peut pas être ses vrais cheveux!) et où il découvrait les joies de l'amour acrobatique avec sa baby-sitter dans Avec ma baby-sitter. Comme Lionel était même très très jeune, il pensait encore qu'il pouvait écrire des chansons en y glissant des jeux de mots sur la terre glaise, il croyait sincèrement que les orchestrations eighties étaient intemporelles et, enfin, il s'imaginait avoir une voix suffisante pour enregistrer un disque. Il n'était sans doute pas le seul, puisqu'il a finalement sorti son disque, mais ils ne devaient pas être plus de deux à le penser... Alors, Lionel Florence a retrouvé le chemin de la raison et trouvé un meilleur moyen de révolutionner à tout jamais la musique en rencontrant son alter ego strictement professionnel, Pascal Obispo, en lui écrivant des récits poignants parfois mélodramatiques et en pourrissant la vie de toutes les Lucie forcées, depuis, de subir des plaisanteries du genre «Lucie, dépêche-toi» ou «Lucie, t'arrête pas».
Le CV idéal pour un être un juré forcément inattaquable dans À la recherche de la Nouvelle Star.
Lalalalalalala... LalalalalalalaAvec ma baby-sitter
En fait, c'est elle qui tâte et tête ma tétine
Avec ma baby-sitter
Ça colle extra, c'est comme la terre...
Elle est anglaise
Lalalalalalala... Lalalala
Avec ma baby-sitter
On n'se cache pas
Juste quelquefois, tout nus dans le placard (oooh ohohohohoh)
Quand j'lui fais l'plan d'Dracula (oooh ohohohohoh)
Puis j'la console dans mes bras
Sûr, c'est un nec plus ultra
Lionel Florence
1986 CBS
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