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Affichage des articles du juillet, 2011

Les schtroumpfs oubliés de la chanson schtroumpf (3)

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La semaine qui vient de s'écouler est passée horriblement vite. C'est que, voyez-vous, il m'a fallu l'occuper de mille façons pour ne pas voir combien ma vie était devenue vide de sens depuis la fin du Tour de France, mais je crois pouvoir dire que je commence à m'en remettre. Et puis, surtout, il a fallu trouver un cadeau pas trop mal pour les soixante ans de ma mère, en gardant en tête que, de toute façon, elle ne lit pas les livres, n'écoute pas les disques et ne regarde pas les dévédés. Ou ni ne regarde les dévédés. Je crains que, grammaticalement, ma phrase ne soit pas bien belle. Sur le plan de la morale aussi, bien sûr, parce que, lorsqu'on fait un cadeau, et plus encore à sa mère, il faut que ça vienne du fond du cœur, et peut-être plus plus encore quand les circonstances sont différentes des anniversaires précédents, ajoutant à cela qu'on tombe sur un compte rond, mais bon, elle s'est déjà offert un ordinateur portable pour pouvoir jouer au

Les schtroumpfs oubliés de la chanson schtroumpf (2)

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Le grand jour est plus que proche et, soyons clair, j'y crois autant qu'à la victoire de Thomas Voeckler à Paris. Bon, cette première phrase n'a plus grand sens la veille de l'arrivée du Tour de France, puisque personne peut plus y croire (à part Julian Bugier et Thierry Adam, peut-être), mais je n'avais pas pensé à ça quand j'ai programmé l'exhumation des schtroumpfs oubliés de la chanson schtroumpf chaque samedi. Car oui, c'est aujourd'hui samedi. Même quasiment dimanche, d'ailleurs. Peut-être même qu'on est lundi, chez vous, si vous n'êtes pas passé ce weekend. Voire mardi, mais dans ce cas-là, je ne vous félicite pas. De toute façon, là n'est pas le sujet, je présume que vous le savez (à moins que, comme moi, à cause de longues vacances passées à ne rien faire, vous soyez franchement déphasés). Et donc, disais-je, avant que vous ne m'interrompiez, le grand jour est plus que proche et, soyons clair, cela me semble désormais imp

Groupie or not groupie

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Les vacances avaient pourtant bien commencé. Les jours caniculaires avaient laissé la place à des températures très correctes, j'avais enfin trouvé le temps de visiter le Saturn fraîchement installé mais tant attendu, je n'avais pas eu à attendre pour me faire couper les cheveux le jour où j'avais enfin décidé qu'il était temps qu'ils soient coupés... Quoique, en y repensant, ce jour-là n'a pas été si parfait. Certes, le fait que le salon de coiffure ne soit pas fermé pour cause de vacances, comme je l'avais craint la veille en voyant sa porte cadenassée, avait quelque chose de rassurant, moi qui m'était déjà imaginé devoir vivre avec trois kilos de cheveux sur la tête pendant une durée inconnue voire, pire, devoir trouver un autre endroit où aller. Mais quelle ne fut pas ma surprise en y entrant de n'y croiser qu'une seule coiffeuse! Et pas celle qui s'occupe de moi habituellement, qui, même si elle ne doit me couper les cheveux qu'une f

Les schtroumpfs oubliés de la chanson schtroumpf (1)

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Une énorme affiche a pris place au dernier étage de mon centre commercial régional, c'est une preuve de plus que, très bientôt, le film des Schtroumpfs va sortir, en 3D. La bande-annonce laisse croire qu'il s'agira là d'une œuvre plutôt schtroumpf, mais il ne faut jamais juger avant de voir. Et surtout, c'est là une occasion de reparler Schtroumpfs oubliés, ce qui n'était plus arrivé depuis bien trop longtemps! Mais c'est que les Schtroumpfs sont de vrais touche-à-schtroumpf depuis le début de leur carrière, très timide, il y a de cela plus de cinquante schtroumpfs! Mais depuis, non contents d'être des vedettes de la littérature, ils se sont lancés dans la télévision, jusqu'à devenir des méga-stars outre-Schtroumpf! Et, évidemment, puisque même les exclus de télé-réalité s'y collent, ils ont tenté leur chance dans la schtroumpf. Ce qui tombe bien, puisque c'est justement le sujet au centre de cette schtroumpf! Enfin, ne faites pas les surpri

Collection de garçons

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Si je n'avais pas été aussi débordé cette année, j'aurais pu vous évoquer un fait qui fit ma joie, comme une espèce d'accomplissement personnel. Et puisqu'il n'est jamais trop tard pour vous faire partager mon bonheur, j'ai le plaisir de vous l'annoncer. (petit roulement de tambour) j'ai enfin complété ma collection des petits amis de Tina vus en vrai dans une comédie musicale! J'avais vu Vince -on était encore en 2009!- dans Mozart l'opéra rock , avant de réaliser, en revoyant Le Roi Lion (puis en le rerevoyant l'été dernier) que Mickaël avait un rôle dedans, ce que je n'avais pas pu remarquer la première fois, alors que Chante! n'existait pas encore, à l'automne 2007. Mais il m'en manquait un, et le plus important: Stan. Car, soyons clair, Mickaël est gentil, attentionné, amoureux, mais surtout fade. Bien évidemment, il n'y a aucune comparaison possible avec Vince, dont on ne comprend pas toujours ce qu'il dit so

L'été fut chaud

Il devient impératif que les gens qui se sont dits que la Fête du Cinéma, ce serait cool si ça durait une semaine, reviennent urgemment sur leur décision. Non, la Fête du Cinéma, quand ça dure une semaine, c'est absolument désolant. Ça n'intéresse personne, il n'y a personne dans les salles et mon UGC ne fait même plus semblant de s'en préoccuper. Disparus, les plannings de quatre films dans la journée pour voir le plus de choses possible en optimisant les délais inter-séances. Envolée, l'angoisse de devoir tout remettre en question à cause d'une séance qui affiche complet à 13h35. Perdu, ce sentiment de voir des films qu'on n'irait jamais voir en temps normal, juste parce qu'il tombe à l'heure qu'il faut et bouche le trou parfaitement entre deux blockbusters bien bourrins dont l'un des deux, au moins, est naze. Non, tout ce que je retiens de ma Fête du Cinéma 2011, c'est que La Lucarne (dont le nom reflète assez bien les modestes dim