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Affichage des articles du octobre, 2009

Lucky de Daisy (Town)

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Si ce blogue existe, c'est (un peu) à cause de Les Dalton , ce qui prouve que ce film n'aura pas complètement servi à rien, à défaut d'avoir marqué l'Histoire du cinéma ou fait décoller la carrière en France de Til Schweiger. En sortant de la salle, il y a environ cinq ans, j'avais envie de donner mon impression sur ce film, en expliquant pourquoi il n'était pas si mauvais qu'on voulait bien le dire, et c'est ainsi que l'idée d'un blogue est apparue pour la première fois, avant de se concrétiser une quinzaine de jours plus tard, au détour d'une veille de réveillon de Noël et d'une finale chiante à périr de Star Académy . Notez que ce temps d'hésitation est finalement un peu regrettable, parce que je ne me souviens logiquement plus des arguments que j'avais en faveur de ce film, que je n'ai par ailleurs jamais revu depuis, notamment pour ne pas risquer de réaliser que je m'étais fourvoyé ou que je ne voulais soutenir ce fil

Gâteau empoisonné?

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C'est un peu triste, comment un monument peut prendre un coup dans l'aile de son casque d'un coup d'un seul. Et voilà comment, après cinquante ans de hauts et de bas mais surtout de hauts, j'ai tourné la couverture de L'anniversaire d'Astérix & Obélix - Le livre d'or avec une réelle appréhension. Il y avait ce titre, d'abord, laissant craindre le pire. Cette couverture, aussi. Mais surtout le terrible souvenir de Le Ciel lui tombe sur la tête . Et force est de reconnaître que les craintes subsistaient à la lecture du mot d'«Astérix» qui, en lieu et place de la page de titre, remercie ses lecteurs fidèles depuis cinquante ans, auxquels il doit son succès et, surtout, pour le soutien qu'ils lui ont témoigné en continuant à acheter aimer ses albums même après la mort de Goscinny, qui auraient dû marquer sa mort à lui aussi, si on avait dû écouter ces méchants journalistes... Ah, donc, Astérix-l'ami-des-enfants a la cinquantaine aigrie.

Retour vers le passé

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Capture via 1pic1day Ça m'a fait plaisir de voir Katsuni, hier soir dans On n'est pas couché . Il m'a fallu un certain temps pour la reconnaître, me demander si ses seins étaient la seule chose qui avait changé depuis le temps, si c'était le maquillage ou bien simplement l'âge, parce que, finalement, je n'ai plus vraiment suivi l'actu de Katsuni depuis La vie de... Katsumi il y a quatre ans (ah, le «Katsumi's pussy», tant de souvenirs!), à part quand une dénommée Katsumi l'avait obligée à changer de nom parce qu'elle n'assumait pas son homonymie... Et puis, elle a parlé et là, pas de doute, c'était elle. Il y avait les blagues mal assurées de Laurent Ruquier qui n'a pas l'habitude de la porno-star et n'est visiblement pas au point pour prendre la suite de Tout le monde en parle et les invités qui n'avaient pas non plus l'habitude d'un tel voisinage, mais Katsuni avait toujours le même discours sur son métier et s

Ciné mardi

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Il est temps que les vacances arrivent! J'ai l'impression d'écrire cette phrase de plus en plus souvent, mais là, promis, j'ai une bonne raison! En regardant tout ce qui doit sortir et ce qui est déjà sorti au cinéma mais que je n'ai pas eu le temps de voir, il est temps que j'en aie, du temps, histoire de me faire une opinion sur Lucky Luke pour la rencontre entre James Huth et une de mes bédés préférées de mon enfance ou Tempête de boulettes géantes pour ce merveilleux titre qui me fait rêver depuis six mois, avant Micmacs à tire-larigot puis, plus tard, 2012 , que j'attends l'un comme l'autre non sans une certaine crainte. Pour dire combien ma situation est problématique, mardi dernier, j'ai hésité entre quatre films (QUATRE!) pour occuper mon mardi après-midi évidemment libre puisque je suis prof et ai donc beaucoup de temps libre (mais pas au point de voir quatre films à la suite). Peut-être que j'aurais dû choisir alors Mary et Max.

En traitement

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Je vous rassure, je suis encore vivant. Je sais que vous commenciez à craindre pour ma vie, après mes quelques soucis de santé et tant de temps sans nouvelles. Mais rassurez-vous, donc, je suis encore vivant. Il me faut quand même préciser que la terrible NDE que j'ai vécue a laissé quelques séquelles. En particulier la douleur qui m'atteint encore et toujours, même près d'un mois après qu'on m'a retiré ma perfusion, quand quoi que ce soit cogne le milieu de mon avant-bras gauche. La raison tient en un mot: Kardegic®, également connu sous le nom d'acétylsalicylate de DL-Lysine, poudre pour solution buvable. Je remercie au passage mon Docteur Greene local de m'avoir épargné tout traitement à base de gélules et de cachets que je suis pathologiquement absolument incapable d'avaler -ce qui est d'ailleurs une raison de plus pour moi d'avoir une vie sexuelle proche du néant-, ni même des comprimés effervescents que ma langue ne supporte pas, comme le