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Affichage des articles du septembre, 2010

Chronique de la haine ordinaire

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Même si je ne suis qu'amour, il est un fait indéniable: je déteste Jean-Marc Morandini. Je limite au maximum mes passages sur son blogue où on reconnaît les articles qu'il ne pille pas ailleurs aux fautes d'orthographe qui les agrémentent et ces pseudo-exclus lancées une fois sur deux (au moins) pour être démenties dans l'heure qui suit. Je ne supporte pas non plus de l'écouter parler et encore moins de le regarder parler en même temps. C'est purement physique, et donc très peu charitable de ma part, mais c'est ainsi. Logiquement, comme je ne suis pas masochiste, je ne regarde jamais Morandini! . C'est dommage, un peu, car il y a Laurent Artufel dans Morandini (ou l'inverse, je ne sais pas exactement comment se déroulent les entretiens d'embauche) et que ça pourrait me donner l'occasion de le revoir, même si, j'en suis sûr, rien ne peut égaler le niveau de La Guerre des bombes . Mais non, ça ne suffit pas (plus?). Pourtant, vendredi, c

Le corbeau (I know what you did last decade)

Je crois pouvoir le dire: ma rentrée s'est finalement bien passée. Et pourtant, il faut bien le dire, j'ai craint le pire! Quand j'ai su ce qui m'attendait cette année, en mai, on peut même dire que ça a été un moment un peu douloureux. L'idée de changer de collège, déjà, ne m'enchantait guère, ne l'ayant pas personnellement demandé. Mais surtout, l'idée de changer de collège pour revenir dans le collège où j'ai été élève, hum, comment dire... ça craignait. Rester dans ma ville, oui, c'est cool; revenir sur les traces de quand j'avais treize ans, non, c'est naze. Je me suis rassuré comme j'ai pu, en me disant que les profs ne sont plus les mêmes, que le collège lui-même a été complètement reconstruit (et heureusement!) et que, finalement, c'était plus sur les traces de ma sœur que je marchais. De toute façon, dans mon collège n°2, l'an dernier, j'avais déjà eu à travailler avec deux ex-profs de mes tendres années. Alors es

L'amour est un oiseau rebelle

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J'en suis bien conscient: ces derniers temps, ce blogue manque cruellement de culture. Et si ce blogue en manque, c'est que moi aussi, j'en manque, car ce blogue est un peu le miroir de mon âme. C'est probablement pour cette raison que, hier soir, j'ai fait partie des douze personnes qui ont regardé France 3, pour vivre Rigoletto en direct live décalé de quinze minutes, en même temps que les téléspectateurs de 148 pays et dans les lieux et temps réels de l'intrigue! Si ça, c'est pas de l'événement, tudieu! C'était l'occasion rêvée, l'argument parfait pour me lancer enfin dans l'opéra et suivre les aventures de Rigoletto et sa fille cachée amoureuse d'un homme parfait qu'elle ignore être le duc de Mantoue (le charmant Monsieur en photo juste au-dessus) duquel son père est justement le bouffon bossu. Des conditions optimales pour me permettre de découvrir cette œuvre qui, le saviez-vous?, adapte du Victor Hugo, impliquant donc qu&#