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Affichage des articles du février, 2007

Où l'on cite Patrick Bruel et un air des seventies (ooh oh oh oh)

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Y a le KGB, y a la CIA Le gros Idi Amin Dada Du sang à la une des gazettes Pauvre planète... Cet extrait de T'as beau pas être beau repris par Sol En Si à la fin du siècle dernier est à peu près tout ce que j'ai longtemps su d'Amin Dada. Et puis les premières bandes-annonces du Dernier Roi d'Écosse sont sorties, et youpi!, mon inculture dictatoriale allait enfin pouvoir être comblée... Mais en fait non! Alors bien sûr, Le Dernier Roi d' É cosse est un bon film (un peu mou par moments, quand même), sauf que ce n'est pas une bio d'Amin Dada, mais plutôt de son (faux) médecin personnel Nicholas Garrigan. Alors, ce que j'espérais, je ne l'ai entraperçu qu'au bout d'une heure et demie, et je suis sorti de la salle sans comprendre pourquoi Amin Dada a marqué l'histoire, sans saisir la différence entre lui et tout autre dictateur lambda. Peut-être n'était-ce pas du tout le propos du film, que j'ai extrapolé à la vue de la bande-annonc

LTODLCF, les stars AB (volume 9)

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«Mais ça n'en finira donc jamais?!» est peut-être la question que vous vous posez à la lecture de ce titre. "Il va pas tous nous les faire, quand même!" est la remarque qui suit. «Non parce que si jamais il en vient à parler de Manuela Lopez, ce sera vraiment le signe qu'il est tombé bien bas» conclut votre soliloque... Je vous entends, rassurez-vous, votre calvaire s'achève bientôt... Trois ou quatre quinzaines, et la diversité musicale sera à nouveau respectée... Mais quand même, vous admettrez qu'il reste de grands artistes à évoquer avant de clore cette grande saga, non? Par exemple, Christophe Rippert, le Luc de Premiers Baisers , des Années Fac et des Années bleues . Qui a oublié, même huit ans après la fin de la dernière série évoquée, ce chanteur au brushing toujours impeccable, qui montre à lui seul l'étendue des talents des coiffeurs de chez AB Productions? Le sex-symbol qui faisait craquer toutes les filles? Personne, nous sommes d'accord.

Goûte, c'est du Belge!

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J'aimerais être capable, là, ici, tout de suite, d'exprimer à quel point j'ai aimé La vie des autres de Florian Henckel von Donnersmack. Réussir à donner un minimum envie d'aller voir cette histoire d'un agent de la Stasi chargé d'écouter la vie de Georg Dreyman, un écrivain soupçonné de sympathie pour le régime de l'Ouest, ce qui ne se fait pas en RDA. Argumenter sur l'atmosphère tantôt oppressante, tantôt légère du film, mais surtout oppressante, parce qu'on ne sait pas où il veut en venir... Malheureusement, comme je n'ai pas osé suivre trop longtemps les trois femmes qui discutaient de ce film qu'elles venaient de voir qui les a plus qu'enthousiasmé pour ne pas passer pour un pervers, je manque de vocabulaire. Mais je sais, et c'est l'essentiel, qu'il faut aller voir La vie des autres ! Par contre, pour T4XI , ou plus simplement Taxi 4 , je peux facilement affirmer que, même si Sami Nacéri est beaucoup moins convaincant q

Trois nuits par semaine...

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Il y a parfois des petits miracles dans la vie... Par exemple, dans la saison 5 de 24 heures chrono , Kim Bauer, sur l'intégralité de sa présence à l'écran, réussit à ne presque pas être pénible... Par autre exemple, dans La nuit au musée , Kim Raver, sur l'intégralité de sa présence à l'écran, réussit à ne presque pas être pénible. Bon, elle est un peu aidée par le fait qu'elle reste au grand maximum deux minutes à l'écran (et heureusement que ce ne sont que deux minutes, car parfois, les miracles ne durent pas, d'autant plus quand la voix française n'est pas la bonne). Et aussi par la présence à ses côtés de Paul Rudd (qui culmine quant à lui à dix-sept secondes de présence à l'écran), toujours agréable à regarder en général (mais pas là). Audrey Raines est ici la mère Nick et l'ex de Ben Stiller qui, tel Madame Doubtfire , est un vrai loser, toutes catégories confondues, tant sur le plan professionnel que sur le plan relationnel avec son fil

LTODLCF, les stars AB (volume 8)

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Chez AB, et les semaines passées l'ont rappelé, sexe et chanson pour enfants font souvent bon ménage... Il y a eu Emmanuelle, puis Julie Caignault, puis Mallaury, et entre-temps, les sous-entendus des Musclés. Et puis, au milieu de ce marasme de débauche et de luxure, il y avait Hélène. Hélène ne connaissait point ces horreurs, car Hélène vivait dans un monde tout de rose bonbon, telle une ado qui s'éveille à la vie, à l'amour, à ses grands yeux verts dans lesquels, chance! (chance?), il y avait toujours pour elle l'éclat d'un sourire narquois... Dès qu'elle apparaît, en 1989, Hélène (23 ans déjà!) est une brave fille. Et, comme toutes les braves filles, elle se fait si facilement avoir en amour. Alors, après l'échec de son premier album, qu'elle a pourtant défendu intensivement à Pas de pitié pour les croissants (bien moins qu'Emmanuelle, cependant) dont sont extraits quatre 45 tours, dont le dramatique Jimmy Jimmy aux sonorités AB-asiatiques déjà