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Affichage des articles du novembre, 2010

La famille, ça grandit

Mercredi soir, j'étais un peu tendu. Mercredi soir, c'était le début de la saison 3 de Fais pas ci, fais pas ça , ce qui devait logiquement annoncer deux heures (ou presque) de franche rigolade. Mais non. À 20h35, j'avais un peu peur. Peur que, après avoir lu tant de compliments sur cette saison 3, après avoir adoré les deux premières saisons au point de les avoir achetés en dévédés et (partiellement) revus cet été, je me sois fait une image de la série qui n'était pas correcte. Peur, finalement, que ce retour ne soit pas si drôle que j'espérais. Mais j'avais hâte aussi. Surtout. Hâte de savoir. Hâte de voir, depuis le temps que je l'attendais. Et Mon Dieu, qu'est-il arrivé à Elliot et à ses cheveux? À 20h40, quand le générique a commencé, j'étais déjà rassuré. Les revoir faire les zouaves en chantant Fais pas ci, fais pas ça , entendre Mme Lepic crier son cultissime À table! , j'étais en terrain connu. Et tout s'est finalement bien passé. J

Juste pour rire

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Ça a commencé gentiment. D'abord, je me suis dit que, quand même, c'était vachement bien de regarder En toutes lettres en rentrant du travail et qu'une émission d'humour à la place, c'était un peu naze. Et puis, le moment venu, Stéphanie devait être en train de rompre avec Maxime, ou Senna de parler mariage avec Amélie, ou je ne sais plus trop mais sans doute une péripétie qui ne me bottait pas particulièrement, à moins que ce soit l'attrait de la nouveauté qui ait joué, quand on était encore en août mais qu'on savait qu'on n'échapperait plus à la rentrée parce que septembre était alors demain. J'aime cette période-là, quand vient la fin des vacances d'été. Et c'était naze, un peu, mais moins que les péripéties d'en face, à moins que l'attrait de la nouveauté m'ait poussé à suivre une nouvelle émission malgré tous ses défauts. C'est possible. Je suis bien du genre à m'imposer des programmes qui ne me plaisent qu'à

Who's that boy?

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Ceci, juste au-dessus, ce sont les trois premières minutes de Simon Werner a disparu ... Et le début d'un horrible moment d'une heure et demie environ. N'allez pas vous méprendre! Ce n'est pas le film qui est fautif. Au contraire, même! J'adore les films avec différents points de vue, qui se complètent au fur et à mesure pour résoudre un mystère. Le fait qu'on suive quatre lycéens, avec tout ce que ça implique de gens bizarres surnommés Punky Brewster, de vacheries entre amis ou envers les profs qui mettent des quarts de point, de dragueurs invétérés et de sentiments cachés, c'est même très positif. Qu'en plus, ça se passe en 1992, donc au temps béni des baladeurs cassette qu'on écoute sur son lit, porte fermée (et avant les téléphones portables, dont l'existence aurait, il faut bien l'avouer, ruiné la moitié du film), ça donne un côté un peu désuet, et donc intrigant, à cette disparition de Simon Werner (car, c'est un fait notable, le ti