Casse-noisettes

Le billet du jour sera donc consacré à autre chose, mais tout d'abord, un petit interlude musical, pour rappeler ce que sont les vrais Chipmunks (C.H.I.P.M.U.N.K.!)

Bref, la saison 6 s'embourbe dès le début dans les travers de sa précédente et on se dit que, à ce rythme, 24 heures, ça va paraître bien long. Et vas-y que je te fais exploser une bombe nucléaire, et vas-y que Jack tue froidement (et complètement gratuitement) son ex-co-équipier Curtis, et vas-y que Jack craque, pleure et vomit au pied d'un arbre, tout ça en quatre épisodes plutôt mous du genou, malgré tout. C'est que, pendant ce temps, il faut faire connaissance avec tous les p'tits nouveaux. À la Maison Blanche, on retrouve John Cage en conseiller du président aux désirs ultra-républicains brimés par un Président limite démocrate, ainsi que la femme de Bill Buchanan, toujours chef de la Cellule Anti-Terroriste, qui retrouve Eric Balfour (déjà présent dans quelques épisodes de la saison 1, un autre temps) et accueille un certain Morris O'Brien, petit ami de Chloé O'Brien car la vie est bien faite (ah ben non, en fait, c'est son ex-mari déjà aperçu à la fin de la saison 5, c'est pour ça!). Et surtout, on découvre enfin le nom de famille de la tête du complot... Bauer!
(Oui, comme Jack, la vie est bien faite)


Alors, bien sûr, il reste encore 12 heures à tirer... 12 heures pendant lesquelles Audrey Raines a tout le temps de revenir, et probablement de chouiner, voire Kim Bauer. 12 heures pendant lesquelles les scénaristes ont tout le temps de se perdre eux-mêmes et d'assassiner inutilement nombre de personnages. Mais, en continuant à remixer les deux meilleures saisons de la série, tout espoir est permis pour que les douze prochaines heures livrent de bonnes surprises.
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