LTODLCF, volume 4.03
Il est plus que temps de poursuivre le fil des histoires d'amour. Nous en étions encore aux doux temps de l'adolescence, aux hormones, aux premiers frissons et à la masturbation. À ces premiers baisers échangés sur une plage en été, à ces premiers émois cachés dans les rochers. Heureusement, et Dieu merci, l'adolescence ne dure qu'un temps. Les boutons d'acné peuvent contre-attaquer, parfois, au-dessus du sourcil, mais c'est juste épisodique et complètement provisoire, bien que trop fréquent, mais avec la chaleur, je n'ai pas une très belle peau et il faudrait vraiment que je m'attèle à trouver un truc pour ça...
Bref.
Les amours adolescentes, en général, ne durent pasplus de deux semaines, mais elles cèdent, paraît-il, leur place à d'autres histoires d'amour de grandes personnes, toussa toussa... C'est ce qu'on raconte, en tout cas. Mais c'est difficile de parler d'amour, de ce moment où on ne pense plus qu'à ça, que plus rien d'autre n'a d'importance, qu'on est véritablement obnubilé... L'amour, l'amour, l'amour... C'est si bien résumé par la chanson L'amour de Rouge Rouge que je n'ajouterai rien de plus (et ça tombe bien que ce soit sur cette chanson que l'inspiration ne soit pas venue et que mes doigts n'aient pas glissé sur mon clavier, c'est compensé par la qualité des paroles...).
Bref.
Les amours adolescentes, en général, ne durent pas
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