C'est tout...pour le moment
Ce monde n'est pas le mien, et c'est pourquoi je pars... Ne me retenez pas, ma décision est irrévocable, je ne peux vivre plus longtemps dans un monde où l'on applaudit à la fin de Transformers -un film du réalisateur de Pearl Harbor et Armaggedon ne peut en aucun cas être autant cautionné, même s'il est bien meilleur que les deux bouses précitées, ce qui n'est pas dur- mais où personne dans la salle ne chante les da-dadadada du générique des Simpson quand leur film commence...
Enfin, je dis ça, mais je sens bien au fond de moi-même que je reviendrai un jour...
Mais en attendant, je pars...
Et vous ne me reverrez plus...
Pendant une dizaine de jours...
Sauf si, du fond de la campagne auvergnate où les ordinateurs n'ont pas encore droit de cité, vous avez de mes nouvelles avant...
Mais en attendant, ne m'en veuillez pas, je vous abandonne.
Et si, malgré tous les conseils que je vous ai déjà donnés, vous ne savez toujours pas comment faire passer plus vite tout ce temps mis à profit par ma faute (et j'en suis bien désolé), vous pouvez éventuellement aller voir Les Simpson, le film (et rester jusqu'à la fin du générique), parce que ça tue sa race ET sa mère, sauf si on n'aime pas Les Simpson, ce qui est inconcevable.
Et, si vous rêvez de devenir une star du blogue et que l'idée même d'avoir un nouveau lecteur commentateur rend votre kiki tout dur (ou l'équivalent si vous êtes une fille, mais je maîtrise mal), tentez votre chance au grand concours estival avec pleiiiin de visites à gagner du blog d'Embruns, auquel j'aurais bien participé, si, malheureusement, je ne partais pas vivre dans un coin reclus et néanmoins verdoyant de notre belle contrée.
Et si vraiment, rien ne vous a convaincu, vous êtes grand, alors débrouillez-vous, parce que, de toute façon, moi, je me casse! C'est les vacances, sayonara, good bye, auf wiedersehen, buenas noches et tout le reste!
Comme disait Benjamin Castaldi: "That's all... for the moment, for the American"
(Il est quand même un peu con, Benjamin Castaldi...)
Enfin, je dis ça, mais je sens bien au fond de moi-même que je reviendrai un jour...
Mais en attendant, je pars...
Et vous ne me reverrez plus...
Pendant une dizaine de jours...
Sauf si, du fond de la campagne auvergnate où les ordinateurs n'ont pas encore droit de cité, vous avez de mes nouvelles avant...
Mais en attendant, ne m'en veuillez pas, je vous abandonne.
Et si, malgré tous les conseils que je vous ai déjà donnés, vous ne savez toujours pas comment faire passer plus vite tout ce temps mis à profit par ma faute (et j'en suis bien désolé), vous pouvez éventuellement aller voir Les Simpson, le film (et rester jusqu'à la fin du générique), parce que ça tue sa race ET sa mère, sauf si on n'aime pas Les Simpson, ce qui est inconcevable.
Et, si vous rêvez de devenir une star du blogue et que l'idée même d'avoir un nouveau lecteur commentateur rend votre kiki tout dur (ou l'équivalent si vous êtes une fille, mais je maîtrise mal), tentez votre chance au grand concours estival avec pleiiiin de visites à gagner du blog d'Embruns, auquel j'aurais bien participé, si, malheureusement, je ne partais pas vivre dans un coin reclus et néanmoins verdoyant de notre belle contrée.
Et si vraiment, rien ne vous a convaincu, vous êtes grand, alors débrouillez-vous, parce que, de toute façon, moi, je me casse! C'est les vacances, sayonara, good bye, auf wiedersehen, buenas noches et tout le reste!
Comme disait Benjamin Castaldi: "That's all... for the moment, for the American"
(Il est quand même un peu con, Benjamin Castaldi...)
Commentaires