Pierre trouve Bruno Putzulu de plus en plus séduisant, et Jean-Pierre Michaël aussi, l'heure est grave!
Hier, faute d'adversaires crédibles, j'ai finalement regardé La Une est à vous La vie à une, essentiellement pour revoir Bruno Putzulu dans un téléfilm. Il est temps d'avouer que j'ai eu dans ma vie une période Bruno Putzulu, comme Picasso eut sa période bleue. La faute, en grande partie à l'excellent Pourquoi pas moi? et à mes hormones aussi, qui m'ont poussé à regarder le meilleur, mais aussi le pire, en couvrant un large éventail allant de Irène à L'appât, en passant par Virilité et autres sentiments modernes ou une version filmée de Georges Dandin ou le mari confondu, du temps où il ne s'était pas encore fait virer de la Comédie-Française. Un jour, j'ai finalement réalisé que, quand même, vraiment, la manière de jouer de Bruno Putzulu est facilement insupportable. Mais ce téléfilm offrait l'occasion idéale de prendre des nouvelles.
Pour ceux que ça intéresse, La vie à une, comme son moche titre l'indique, est l'histoire d'une mère en instance de divorce et pour qui tout va mal sur tous les plans: son mari veut la garde exclusive, elle ne travaille pas et, en plus, le robinet de sa salle de bains fuit! Heureusement, à la fin, comme on pouvait s'y attendre, tout est bien qui finit bien et les parents s'accordent sur quelque chose d'extraordinairement audacieux: la garde alternée! Pour les étapes intermédiaires, malheureusement, il faudra aller ailleurs, parce que je faisais autre chose en même temps, et c'est aussi un peu pour ça que La vie à une a gagné sur Gladiator qui était rediffusé sur TV Breizh et que j'ai justement envie de revoir, mais dont j'ai le dévédé.
De toute façon, l'intérêt de ce téléfilm résidait non pas dans son scénario, mais dans son casting.
Le couple vedette, d'abord: Claire Keim, malgré une coupe de cheveux discutable et, bien sûr, Bruno Putzulu, qui, tel que le titre de ce billet l'indique, avait retrouvé d'une manière absolument inattendue son top niveau, au détour de la première scène du téléfilm, avec plein d'hommes nus sous la douche!
Mais si jamais ça ne suffisait pas, le patron/crush de Claire Keim, c'était Jean-Pierre Michaël, mazette! L'ex-patron du RIS qui, d'ailleurs, s'est révélé autant que Bruno Putzulu, ce qui pourrait laisser croire aux pouvoirs magiques de la caméra de Frédéric Auburtin ou de la diffusion en haute définition.
...Mais ça n'était pas tout!!! La collègue/amie (?) de Claire Keim était jouée par Linda Hardy...
Linda Hardy, quoi!
Celle qui avait sublimé un épisode de Commissaire Cordier par son seul talent, et qui avait, elle aussi, quelques problèmes capillaires hier soir, comme si tous les fers à défriser de la production étaient tombés en panne au mauvais moment.
Mais si vraiment ça ne suffisait pas, sous prétexte que JPM ou LH ont déjà joué pour TF1 et que ce n'est plus une surprise de les y voir, ce n'est rien à côté du top du top. Parce que, hier, le mauvais boss de Claire Keim était interprété par Serge Hazanavicius, qui a sans doute fait d'autres trucs bien mieux que Delphine: 1 - Yvan: 0 ou être le frère de Michel Hazanavicius.
Tout le monde en conviendra, Serge Hazanavicius, c'est quand même totalement inattendu dans un téléfilm de la Une, non?
Pour ceux que ça intéresse, La vie à une, comme son moche titre l'indique, est l'histoire d'une mère en instance de divorce et pour qui tout va mal sur tous les plans: son mari veut la garde exclusive, elle ne travaille pas et, en plus, le robinet de sa salle de bains fuit! Heureusement, à la fin, comme on pouvait s'y attendre, tout est bien qui finit bien et les parents s'accordent sur quelque chose d'extraordinairement audacieux: la garde alternée! Pour les étapes intermédiaires, malheureusement, il faudra aller ailleurs, parce que je faisais autre chose en même temps, et c'est aussi un peu pour ça que La vie à une a gagné sur Gladiator qui était rediffusé sur TV Breizh et que j'ai justement envie de revoir, mais dont j'ai le dévédé.
De toute façon, l'intérêt de ce téléfilm résidait non pas dans son scénario, mais dans son casting.
Le couple vedette, d'abord: Claire Keim, malgré une coupe de cheveux discutable et, bien sûr, Bruno Putzulu, qui, tel que le titre de ce billet l'indique, avait retrouvé d'une manière absolument inattendue son top niveau, au détour de la première scène du téléfilm, avec plein d'hommes nus sous la douche!
La vie à une - Extrait
Mais si jamais ça ne suffisait pas, le patron/crush de Claire Keim, c'était Jean-Pierre Michaël, mazette! L'ex-patron du RIS qui, d'ailleurs, s'est révélé autant que Bruno Putzulu, ce qui pourrait laisser croire aux pouvoirs magiques de la caméra de Frédéric Auburtin ou de la diffusion en haute définition.
...Mais ça n'était pas tout!!! La collègue/amie (?) de Claire Keim était jouée par Linda Hardy...
Linda Hardy, quoi!
Celle qui avait sublimé un épisode de Commissaire Cordier par son seul talent, et qui avait, elle aussi, quelques problèmes capillaires hier soir, comme si tous les fers à défriser de la production étaient tombés en panne au mauvais moment.
Mais si vraiment ça ne suffisait pas, sous prétexte que JPM ou LH ont déjà joué pour TF1 et que ce n'est plus une surprise de les y voir, ce n'est rien à côté du top du top. Parce que, hier, le mauvais boss de Claire Keim était interprété par Serge Hazanavicius, qui a sans doute fait d'autres trucs bien mieux que Delphine: 1 - Yvan: 0 ou être le frère de Michel Hazanavicius.
Tout le monde en conviendra, Serge Hazanavicius, c'est quand même totalement inattendu dans un téléfilm de la Une, non?
Pas du tout du tout inspiré par POC
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