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Affichage des articles du 2005

La quille!

La France entière tremble, s'interroge, se déchire: qui donc va remporter la cinquième finale de la Star Academy ? D'autant que c'est le plus haut niveau qui a atteint l'ultime étape cette année, à tel point que TF1 a dû faire des efforts de programmation exceptionnels pour trouver des artistes à leur hauteur, sans oublier l'orchestre philarmonique qui accompagnera les élèves sur les routes de France pendant leur tournée dont les places -assises, toutes- sont déjà en vente pour ceux qui ne sont pas encore en train d'enregistrer leur cassette démo pour participer au prochain casting, lui aussi annoncé. Ainsi, Mariah Carey (qui, en tant que marraine, était déjà venue faire l'insigne honneur de bouger ses petits doigts boudinés aux bouts de ses bras qui ne le sont pas moins en évitant de trop montrer qu'elle ne s'intéressait aucunement à l'interprétation de Jean-Luc et Emilie à ses côtés, sans pourtant oublier de trop en faire pour dire à quel point

Ça, c'est fait!

Ce fut long, ce fut dur, mais, même si j'ai pris mon temps, c'est enfin fait: j'ai fini le dernier Harry Potter. Et il m'a fallu mettre en œuvre toute la ténacité dont j'avais déjà dû faire preuve cet été pour achever le Da Vinci Code . Ce n'est pas que je l'ai trouvé mauvais, juste cinq ou six cents pages de trop au début, avec des phrases au style de plus en plus alambiqué qui, si elles permettent de réapprendre les règles de base de la conjugaison du passé simple, nécessitent plusieurs lectures pour être bien sûr de ne pas avoir raté un détail important noyé dans cette masse de mots. Alors qu'il ne s'agit principalement que d'histoires d'amour plus-gnangnan-tu-meurs qui renvoient les intrigues sentimentales d' Hélène et les garçons au Panthéon des chefs-d'œuvre. Et puis, après des pages et des pages de blabla sans action, celle-ci se décide à commencer dans les cent-cinquante dernières pages (sur sept cents), et plus encore les qu

Deutsch ist klasse!

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Heute habe ich Michael Hanekes Funny Games angesehen. Ein sadistisch gut gemacht Film mit einem ziemlich hübschen Schauspieler (Arno Frisch), aber dessen zweite Stunde ein bißchen uninteressant ist (zehn bewegungslos Minuten ist keine gute Vorstellung...). Aber möchte ich nicht über diesen Film sprechen... Nein! Heute habe ich einen österreichischen Film angesehen... auf deutsch, bitte! Glücklicherweise mit Untertiteln... Ich war nicht schlecht in Deutsch. Trotzdem könnte ich kaum sagen, daß ich in Créteil wohne oder daß ich einsundzwanzig Jahre alt bin. Schade? Nein! Warum? Weil, dank Arte, ich meinen Deutsch überprüfen kann. Nun ja: es gibt Lucky Luke -auf deutsch mit französischen Untertiteln!-, um zu jeder Sonntag aufwecken (um 8³º Uhr). Cool!

Pas de poils au museau, pas de Danao choco!

Un mois en Auvergne, pour qui? pour quoi? Telle était sans doute l'interrogation née dans votre cerveau à la lecture de mon dernier billet (comment? vous ne l'avez pas encore lu? ce qui explique la rareté des commentaires... ce n'est pas grave... bon, j'espérais que mon retour ferait plaisir à mes hordes de fans mais bon, visiblement, il n'en fut rien... mais je prends sur moi, ne vous inquiétez pas!). Tout d'abord, il faut avouer que c'est un rituel (et puis de toute façon, si je ne voulais pas y aller, j'avais qu'à "trouver un job d'été"); ainsi, cette année, c'était le vingt-deuxième été consécutif (le terme "consécutif" ne sert ici qu'à intensifier une évidence, mais je vous laisse recompter) que je passais à Saint-Poncy. Un petit village où tout le monde sait tout sur tout mais surtout sur ses voisins. Alors, forcément, quand on se sent un peu inexistant, c'est un bon moyen de se remonter le moral. Par exemple

Opération photomaton, acte II

Comme une fois n'est pas coutume, je vais vous raconter ma vie, toujours plus palpitante... Adonc, ainsi que me le demandait ma convocation pour m'inscrire à l'IUFM (à propos de laquelle j'ai reçu hier un courriel m'annonçant que je ne m'étais pas présenté à l'heure dite... Je dois reconnaître que, malgré tous mes talents, qui sont vraiment très nombreux je le précise encore et sans fausse modestie, je n'ai malheureusement pas le don de deviner que l'IUFM envoie des courriers que je ne reçois pas, ce qui n'est pas très pratique mais ça ne vous intéresse pas... mais je vous rappelle qu'on met sa main devant sa bouche quand on baille), il me fallait impérativement une photo d'identité... Après tout, même si j'aurais préféré attendre d'être revenu de vacances, elles seront faites pour ma carte d'identité... Bref, me voilà au photomaton! Depuis notre dernière rencontre, celui-ci s'est enrichi de l'option «essais illimités»

Opération photomaton

Suite à de nombreuses (une) déceptions suite à la découverte (très rapide) de «la» photo, j'ai donc décidé qu'il était temps pour moi de me rendre dans un photomaton afin de me faire tirer le portrait. Seulement voilà, depuis la dernière fois que j'en ai fréquenté un (en 1993), les prix ont hautement grimpé. Jusqu'à atteindre la somme pharaonique de 4€. Ce qui est une dépense importante, alors même que je dois me préoccuper des cadeaux d'anniversaire de mes mère et sœur, qui ont eu la bonne idée de naître à peu près en même temps (mais attention! pas la même année), ce qui est très pratique quand on n'aime pas les anniversaires, mais qui revient cher d'un coup (au moins, elles sont nées après les soldes...). Comme de plus 4€, c'est exactement le prix du dernier single de Priscilla -que je ne peux en aucun cas faire passer pour un cadeau d'anniversaire pour ma charmante soeur parce que selon ses propres termes «Priscilla, c'est pour les gamins», v

Le début de la fin

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Difficile d'y échapper, je m'essaie donc à un résumé du commencement de la saga Star Wars . Tout commence avec Épisode I: La Menace Fantôme . Il y a très longtemps, si longtemps que les livres d'Histoire l'ont oublié (ou peut-être est-ce parce que nous sommes dans une galaxie lointaine, très lointaine), la Fédération du Commerce tente de renverser la République. Pour que ça ne se voit pas trop, elle commence par la ridicule planète Naboo, où l'on fait carnaval tous les jours, à l'image de la Reine Amidala et son maquillage très discret. Dans ce monde, ce sont les Chevaliers Jedi qui font régner l'ordre et, pour régler cette crise, les émissaires sont Qui-Gon Jinn et son jeune padawan (qui n'est pas un instrument de poche pour noter ses rendez-vous professionnels, non non!) Obi-Wan Kenobi. Le scénario n'étant pas absolument infaillible, on retiendra qu'ils échouent et s'enfuient vers le Sénat avec la Reine et un local extrêmement agaçant du no

Une information fondamentale

31% des français font des moulinets avec les bras quand ils écoutent du Claude François! Étonnant, non?!