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Affichage des articles du avril, 2010

Dommages collatéraux

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Dimanche, j'ai croisé Marie Drucker. Et pas n'importe où: juste à côté de chez moi! Mais je dois tempérer immédiatement cet énorme scoop: c'était un peu prévisible, vu combien sa visite était prévue. C'était pour elle, ces camions qui ont bloqué la moitié de la route pendant une semaine, ces barrières partout qui empêchaient même d'utiliser les C-lib Cristol'Lib, ces employés municipaux qui nettoient la ville un dimanche matin à 8h ou encore ces policiers qui empêchent les gens de se garer en double file pour le cas où ils voudraient perpétrer un attentat contre sa personne. Tout ça pour elle! Et pour son oncle, aussi, sans doute, un peu. Et peut-être aussi, probablement, pour Frédéric Mitterrand, Line Renaud, Emmanuelle Devos voire Anny Duperey qui doit avoir un statut important pour justifier son choix d'être venue en couronne . Rendez-vous compte! Tous ces gens, et bien plus encore (et même des gens que je ne connais pas!) juste en face de chez moi, parc

Chasseur de dragons

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Elles sont bien, les musiques. Que répondre? C'est vrai, la musique du générique de Dragons est vraiment bien, avec son petit côté musique celtique et ses violons sautillants (si ce sont des violons), et qu'elle était bien plus agréable à écouter que des tas d'autres génériques, en attendant de savoir si Harold avait la voix de Donald Reignoux ou d'Alexis Tomassian (j'hésite souvent entre les deux!) mais, dans le reste du film, on ne peut pas dire que ce soit la musique qu'on remarque le plus. Et puis, d'abord, est-ce que Monsieur UGC me parlait vraiment à moi? C'est vrai que, quand il a fait cette remarque juste après que je me sois levé et alors qu'il avait largement fini de nettoyer la salle, il n'y avait personne d'autre que nous deux dans les environs, mais je ne l'ai pas vu parler, moi! Peut-être qu'il parlait dans son talkie-walkie, pour faire un compte-rendu à un collègue, pour lancer un message secret, que sais-je? Et puis

Do-Day Deux

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Lundi soir, à l'Olympia, je me suis un peu demandé pourquoi Cyril Féraud était venu voir Dorothée alors que la première partie de son concert n'avait pas l'air de le passionner plus que ça. Tout juste s'est-il mis plus souvent debout que Jean-Marc Morandini, mais il était plus près de la scène, donc plus au milieu des gens qui passent les trois quarts du spectacle debout, alors il était bien obligé, pour voir un minimum ce qui se passait devant... Et puis, à l'entracte, j'ai compris qu'il y avait maldonne quand, tandis que j'attendais tranquillement sur les escaliers de l'entrée, j'ai été perturbé de voir Cyril Féraud à ma droite, alors même qu'il venait juste de dire bonjour à Billy à ma gauche. Alors j'ai regardé à droite, puis à gauche, constaté que oui, il y avait bien deux Cyril Féraud, regardé encore à droite et à gauche et compris que, en fait, le type dont je regardais les réactions depuis une heure et demie était en fait Damien T

Do-Day

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J'aurais bien voulu dormir davantage, pour célébrer mon début de vacances tant attendu, samedi matin. Mais, passé 9h du mat', soit une nuit de 7h tout de même, il m'était absolument impossible de me rendormir et de grappiller quelques dizaines de minutes. C'est que ce samedi n'était pas un samedi comme les autres, c'était LE jour où, plus de treize ans après la dernière fois, j'allais voir Dorothée chanter sur scène. Et j'étais un peu stressé... Les répétitions vaguement montrées sur IDF1 n'étaient pas complètement convaincantes, l'album est assez moyen et l'idée de voir Jacky et des talents inconnus sur la scène pendant le concert, comme je l'ai lu ce matin-là, m'enchantait franchement peu. Ce serait quand même dommage que ce spectacle vire à la fête du slip avec tout ce que Jean-Luc Azoulay peut avoir de pire comme idées mises en scène, annihilant les souvenirs d'époque de Dorothée-la-chanteuse-qui-fait-trembler-Bercy. J'en

Quand revient l'été

Le samedi est une journée terrible. Il y a un creux atroce dans le cœur de l'après-midi, quand regarder des clips sur MTV Idol ou NRJ Hits est devenu fatigant et que les émissions de fin de journée n'ont pas commencé. Il y a bien Slam , à 17h, malgré Cyril Féraud, où des people prestigieux comme Fabienne Thibeault ou Olivier Lejeune tentent de gagner jusqu'à mille euros (1000!) pour une association caritative, mais Slam , ça nécessite de suivre un peu, ce qui n'est pas bien compatible avec mes activités classiques du samedi, comme corriger des copies et préparer des cours quand je suis motivé . Et puis, je déteste les émissions avec des célébrités qui jouent à un jeu qu'ils n'ont visiblement jamais regardé de leur vie (bien que ce problème tende à disparaître, vu que les célébrités ont tellement besoin de promo aiment tellement le jeu qu'elles reviennent!). Mais heureusement, Gossip Girl est de retour! Promo Gossip Girl saison 2 «Qui est qui?» via Youtube

Laissez-les mourir!

L'idée de la résurrection fait toujours plaisir, surtout en cette saison, mais force est de constater qu'il vaut parfois mieux en rester à l'étape de la disparition et du deuil qui s'ensuit. C'est quelqu'un qui a pleuré La Cible qui vous le dit. Et quelqu'un qui aimait bien Fa Si La Chanter dans les années 1990. Autant dire que, en apprenant le retour de l'émission, j'étais ravi. À cela s'ajoutaient la présentation par Cyril Hanouna, quand bien même cela devait signifier la fin de La porte ouverte à toutes les fenêtres (qui était de toute façon malheureusement inévitable), les musiciens de Nouvelle Star , c'est dire le gage de qualité, un générique sympathique à base de ouh la la ouh la la ouh la la la capable de remplacer les cultissimes shanana-nanana shanana-nanana de l'époque, et, cerise sur le gâteau, Pierre Darmon de la Nouvelle Star pour faire chanteur onomatopéique. Ah, Pierre... Mais j'avais oublié que, déjà, quand Fa S

Clap your hands now

Je ne voudrais pas que vous croyiez que, dans mes écouteurs, je ne fais qu'écouter le nouvel album de Dorothée. Bien au contraire, d'ailleurs, vu que je ne l'ai toujours pas. Il arrive certes de temps à autre que la programmation aléatoire de mon téléphone-baladeur moins bien que son prédécesseur bien que plus richement doté en mémoire atterrisse sur Les chansons du passé et que je prenne alors un certain plaisir, mais rien de plus. Et, finalement, ça ne me ravit pas tellement plus qu'en tombant sur À l'aventure . Voire ça me ravit moins que d'entendre Libertine - Live du N°5 on tour , avec ses vrombissements, ses wananéhé , son clap clap et son faux coup de feu. Mais ces jours-ci, je dois confesser que mon téléphone-baladeur contient un titre que je préfère aux cinquante-et-un autres et même à tous les autres que je pourrais entendre ailleurs. C'est pourtant une chanson qui ne m'a absolument pas marqué à la première écouté, à tel point que cette premi