Articles

Affichage des articles du août, 2011

Les schtroumpfs oubliés de la chanson schtroumpf (4)

Image
Lors de mes mirobolantes vacances de trois jours, que j'ai évoquées précédemment, j'ai eu l'occasion de passer par le Luxembourg. Le terme occasion est un peu ambigü, car il laisserait penser que j'ai eu le choix alors que, en fait, pour aller là où j'allais, il était indispensable d'y passer. Notez que je reste ici dans le purement factuel, et qu'il ne faut pas entendre de côté négatif dans l'expression y passer . C'est juste ce qu'il s'est passé, j'y suis passé. Ce n'était pas particulièrement une corvée, comme si quelqu'un déclarait «alors, il y a sept personnes et trois lits, alors il va falloir y passer, mais quelqu'un dormira sur le canapé». Non, rien de tout cela! Je serais bien embêté pour donner un avis sur ce pays, alors que tout ce que j'en sais, à peu près, c'est que mon téléphone portable a troqué un F Orange contre un L Tango , et que ça m'a fait rire. Pensez, je n'ai même pas eu le temps de m

Schtroumpfs à la une

Image
Lalala schtroumpf lala Schtroumpfe un air joyeux Lalala schtroumpf lala Tout ira bien mieux ! Si vous en doutiez, l'anthologie musicale de l’œuvre des Schtroumpfs n'est pas encore tout à fait terminée en ces pages. Et cependant, ce n'est pas de cela qu'il est ici question. Ni de mon absence inexpliquée, qui le sera peut-être, ou pas, puisqu'on sait très bien que, entre une envie d'écrire et l'écriture effective, il y a un pas à franchir. Non, il est bel et bien question de Schtroumpfs. Car, non content d'avoir été les vedettes hebdomadaires de ce blogue en juillet (et encore un peu dans le futur, donc), les lutins du Pays Maudit se retrouvent également vedettes d'un film de cinéma, mais aussi objets d'une exposition, certes au milieu de toutes les autres créations de Peyo, mais avec une place prépondérante malgré tout, puisque, de toute façon, fût-ce par la force des choses, ils ont eu une place prépondérante dans l’œuvre de Peyo, voire

La même histoire

Image
Il y a cinq ans, c'était la première fois que je passais l'été sans aller en Auvergne. Plus exactement, je n'ai même pas bougé du tout, même en étant chez moi, écrasé par la chaleur du mois de juillet. Le mois d'août, je ne m'en souviens plus, c'était il y a cinq ans... Je sais que j'ai aimé cet été, pour l'espèce de liberté que j'y ai trouvé, pour ma découverte du Clown , pour ma première visite sur les Champs-Élysées pour voir passer le Tour de France. Et aussi parce qu'il marquait une fin et un début, ayant passé l'été à attendre le lieu où j'allais travailler, qui ne vint finalement qu'après la mi-août. Il y a cinq ans, Cars, quatre roues sortait au cinéma. J'en ai écrit une critique, je m'en souviens, même si, comme le reste, elle a disparu dans les limbes de l'internet. Et c'est un peu dommage, parce que, si je me souviens l'avoir écrite, je ne sais plus vraiment ce que j'y écrivais... J'avais aimé

Les courses, c'est ma grande passion

Image
Dimanche soir, en répondant Le Journal de Mickey à ma télé, alors que Julien Lepers venait juste de parler, en pleine zone des quatre points, d'un magazine créé par Paul Winkler en 1934, j'ai réalisé que j'étais en train de regarder Questions pour un super champion et que cette fois, c'était bien fini! Et cette sensation n'a fait que se confirmer lorsque j'ai houspillé des candidats prétendument super mais néanmoins incapables de citer Sylvie Vartan à la simple évocation de Panne d'essence : ce soir-là, pour la première fois depuis des semaines, je ne regardais pas Stade 2 . Depuis trois semaines, en fait. C'est que, voyez-vous, cette année, le Tour de France a été passionnant! Lorsqu'il a commencé, le mois dernier, je craignais un peu de passer des heures devant ma télé, pour assister en première semaine à une succession d'échappées rattrapées à dix kilomètres de l'arrivée avant une victoire de Mark Cavendish, qui pleurerait pendant une int