LTODLCF, spécial Mylène Farmer (volume 3)

On oublie trop souvent que ça fait exactement treize ans, un mois et vingt-cinq jours aujourd'hui que sortait Giorgino en salles. Personne n'arrive encore à expliquer le désintérêt du public pour ce film. Pourquoi, à une époque où le cinéma ne coûtait pas encore 9€, si peu de monde avait choisi de passer près de trois heures dans une salle de cinéma pour suivre une sombre histoire d'hôpital psychiatrique, de viol, de pendu, de fous, de loups, de morts... Heureusement, avec la sortie dévédesque du film, mercredi prochain, cet affront au septième Art devrait être réparé, car les cinéphiles devraient se ruer en masse dans les magasins, pour le simple amour objectif du cinéma. Ceci n'aurait d'ailleurs aucune importance pour cette saga musicale d'exception si, sous prétexte d'un petit échec en salles, qui faisait suite à quelques mois de tournage un peu rudes dans le froid tchèque ou slovaque, Mylène Farmer n'avait pas décidé de s'exiler vers LA, Cal. (U...