Ça, c'est fait!

Ce fut long, ce fut dur, mais, même si j'ai pris mon temps, c'est enfin fait: j'ai fini le dernier Harry Potter. Et il m'a fallu mettre en œuvre toute la ténacité dont j'avais déjà dû faire preuve cet été pour achever le Da Vinci Code. Ce n'est pas que je l'ai trouvé mauvais, juste cinq ou six cents pages de trop au début, avec des phrases au style de plus en plus alambiqué qui, si elles permettent de réapprendre les règles de base de la conjugaison du passé simple, nécessitent plusieurs lectures pour être bien sûr de ne pas avoir raté un détail important noyé dans cette masse de mots. Alors qu'il ne s'agit principalement que d'histoires d'amour plus-gnangnan-tu-meurs qui renvoient les intrigues sentimentales d'Hélène et les garçons au Panthéon des chefs-d'œuvre.

Et puis, après des pages et des pages de blabla sans action, celle-ci se décide à commencer dans les cent-cinquante dernières pages (sur sept cents), et plus encore les quatre derniers chapitres (sur trente). Même si l'évolution des personnages me laisse perplexe parce que sans vraie surprise, même si le dernier chapitre est visiblement écrit pour faire pleurer dans les salles de cinéma (j'ai presque entendu une musique larmoyante en fond sonore en le lisant), le final laisse présager du meilleur pour l'ultime volet (mais c'était pareil pour La Revanche des Siths, alors je m'attends au pire).

Et puis, j'aimais pas Dumbledore.

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